Des mots parmi les mots

Ensemble

Intuitivement, Poésitivement

« L’ennemi invisible II »

Je n’ai plus parents, ni grands-parents,
Ceux susceptibles d’être touchés de plus près par cet ennemi invisible préoccupant,

Pourtant, depuis le début de cette pandémie, ces « nouvelles habitudes de vie »,
Quelque peu perturbantes, je les ai acceptées, et reste dans l’incompréhension que cela ne soit pas toujours compris,

Le message est clair, se protéger les uns, les autres, « se priver » de ce qui nous animait avant,
La terre entière est concernée, alors pourquoi parler de complot, avec tant de jugements,

Ce climat d’incertitude est anxiogène pour les uns et pour les autres, et des discours parfois décrédibilisants,
Mais je crois en une solidarité, qui commençait à naître lors du premier confinement, mais qui n’a pas perduré dans le temps,

Certains se pensent invincibles, ou ne pensent pas à autrui,
J’ai pourtant côtoyé des personnes qui réfléchissaient ainsi,

Et qui ont rencontré de près l’Ennemi Invisible,
Depuis, elles n’ont plus la même vision, et ne sont plus impassibles,

Entendre aujourd’hui que si nos proches sont touchés de plein fouet,
Qu’il faudra faire un choix, une « sélection » d’âge, et laisser une famille pleurer celui ou celle qu’elle a aimé(e),

Lorsque j’entends le mot « guerre », cela me donne le frisson,
J’aimerais entendre solidarité, cohésion, à l’unisson,

Mais est-ce la seule solution pour venir à bout de cet ennemi invisible,
Que de parler de guerre, et susciter agressivité, sentiments négatifs, incompréhensible,

Deuxième vague, déni, incompréhension, entêtement, rébellion, impuissance,
Ennemi Invisible, épisode 2, en espérant au plus profond de mon cœur un « scénario » de prises de conscience,

Je n’ai plus de parents, ni grands-parents, mais je ne peux raisonner ainsi,
Même s’il reste quelques années de vie à « nos aînés », elles méritent qu’on les protège aussi,

Je ne suis pas invincible, je ne suis pas intouchable, je ne suis pas invulnérable,
Mais je peux en cette période très particulière de ma vie sur Terre être responsable,

Incertitude sur les prochains mois, questionnements sur notre liberté,
Des choix difficiles mais nécessaires, lorsqu’il est question de Santé

Intuitivement, Poésitivement

« L’ennemi invisible I »

Né en Chine, en 2019, tu as pris ta place, internationalement,
Tu t’es imposé en si peu de temps,

Invisible, silencieux, et pourtant si puissant,
Non maîtrisable, même par les « plus grands »,
La seule solution pour te « contenir » fut le confinement,

Ennemi invisible, cette année 2020 est la tienne, on ne parle que de toi, de ton invasion,
J’ai cru un instant que ta venue enseignerait à chacun la nécessité d’une cohésion,
Puis, peu à peu, sauf pour certaines exceptions,

L’oubli, le retour à l’individualisme, l’agressivité parfois, les discours contradictoires, l’ego quoi !
Mais toi, toujours debout, tu es toujours là, même si on ne te voit pas,

Covid 19, c’est ton nom, tu m’auras appris,
Que même si on souhaite rendre l’invisible visible,
Avec toi ce n’est pas possible,

Seuls des efforts partagés, de la solidarité pour t’évincer,
Une intelligence collective et non « diviser pour mieux régner »,

Permettront de te faire appartenir au plus vite au passé,
Et que la page « Ennemi Invisible » puisse se tourner,

En attendant ta disparition, il faut vivre avec toi,
Masqués, aseptisés, immunisés, prudents, vigilants, pour que tu ne nous atteignes pas,

Lorsque tu seras vaincu, j’aimerais tant que cela ait servi à l’humanité,
De mieux se comprendre, de mieux communiquer,

Car devant toi, ennemi invisible, nous comprenons que notre « pouvoir » le plus précieux n’est ni l’argent, ni l’ego, ni la domination, … mais la Santé

Intuitivement, Poésitivement

« Non au Harcèlement »

Rien que de l’écrire, ce mot me donne le frisson,
L’envie de dire stop et ça suffit pour les victimes de ce fléau, NON !

Quand je pense à tous ceux et toutes celles qui ont vécu cet enfer,
En gardant le silence, en laissant faire,

Qui sont-ils pour s’accorder le droit de faire subir un tel poison à autrui,
Ils n’ont sans doute pas conscience lorsqu’ils incarnent ce rôle qu’ils brisent des vies,

Sournoisement, répétitivement, jusqu’à l’épuisement,
Harcèlement, tu agis et mets à terre, tu ne lâches rien et lorsque ta victoire a sonné, tu choisis les suivantes ou les suivants,

Harcèlement, tu n’es qu’une attitude, une faille, un manque d’amour,
J’invite non pas à la haine, ni à la violence verbale comme ce qui t’anime depuis toujours,

Mais pour que tu n’aies plus ce pouvoir sur autrui,
A te dénoncer dès que tu souhaites t’immiscer, à transpercer, à briser une vie,

A soigner tes propres plaies, pour que l’on entende de moins en moins parler de toi,
Il est si triste de penser que tu peux faire ce que tu veux de l’autre, lui infliger la culpabilité d’être soi,

Harcèlement, tu ne devrais même pas exister,
Ni dans le cadre familial, ni des réseaux sociaux, si scolaire, ni professionnel, ….  qu’a-t-il manqué ?

A toutes ces personnes qui continuent de t’utiliser,
Sans doute l’Amour, la Bienveillance, l’Essentiel, le Respect,

Ainsi, en semant des graines de sensibilisation, de communication,
Harcèlement, tu n’as aucune raison,

D’exister et c’est en parlant de toi,
Que cela s’arrêtera !

Amoureusement, Intuitivement, Passionnément, Poésitivement, Spirituellement

« Complicité »

Il suffit de partager de bons moments avec ceux qu’on aime pour que l’on entende susurrer au creux de son oreille le mot « Complicité » et l’inspiration naît ?

« Complicité » 

Langage de l’âme, juste lire dans le regard,
Se comprendre sans explications, avec attention, art,

Complicité, spontanéité, connexion avec le coeur,
Je le sais lorsque tu apparais , grâce à mon « émetteur »,

De vibrations positives, de confiance, de pleine présence,
Merci à ceux et celles qui partagent cette complicité avec moi, aux bonnes fréquences,

Se sentir bien, se sentir soi, sans jugement adverse,
Là, je sais que tu es là, Complicité, que tu me traverses,

Rire ensemble, se respecter mutuellement,
La complicité c’est quand: « On se parle comme des meilleurs amis, on joue encore comme des enfants,
On se dispute comme mari et femme, avec le cœur,
Et on se protège comme frère et sœur … »