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Poésitivement

Intuitivement, Poésitivement

« Déconnexion »

Loin du quotidien, loin du rythme « imposé »,
En mode « Déconnexion » pour mieux se retrouver, se poser,

Etre seul avec soi-même dans le silence intérieur,
Et n’avoir comme seule « préoccupation » la reconnexion à son cœur,

Apprécier, savourer cette déconnexion, ces instants essentiels, et purs,
Etre doux avec soi, à l’écoute de sa profonde nature,

Revenir à l’essentiel, sans tentation digitale,
Exercice périlleux parfois, la base de la déconnexion, mais radical,

Réapprendre à aimer être en sa propre compagnie,
A oser profiter, à redécouvrir le mode « pause » jusqu’à l’ennui

Poésitivement

 » Légèreté »

L’esprit libre, l’esprit « Plume », ainsi est la légèreté,
Des petites bulles qui parcourent tout le corps et qui viennent délicatement l’apaiser,

Légèreté des pensées, légèreté de la perception,
Une sensation qui me fait penser à l’envol du papillon,

Planer, rêver, « la tête dans les nuages », tout en gardant les pieds sur terre,
Légèreté, tensions envolées, douce énergie qui peut librement circuler, libre comme l’air

Intuitivement, Poésitivement

« Le regard de l’autre »

Ce regard qui te suit de l’enfance jusqu’à l’adolescence,
Puis qui te « poursuit » adulte, parfois jusqu’au piège de la dépendance,

Le regard de l’autre, de ton papa, de ta maman,
Qui est si essentiel, et le début de ton apprentissage de la vie lorsque tu es enfant,

Plaire, ne pas faire de bêtises, être parfait, suivre « le modèle parental »,
Le regard, perte d’identité, de confiance, d’estime de soi, fondamentale,

Adolescence, regard qui peut rimer avec honte, complexe, jugement,
« Esclave » de la pensée extérieure, de ton imagination, de ton ego débordant,

L’Adulte « prisonnier » du regard de l’Autre, dans sa vie sentimentale,
Dans sa vie professionnelle, dans sa vie quotidienne, dans sa vie amicale,

L’Adulte qui soudain se réveille en pensant que cela a assez duré,
Qu’il est temps de se détacher de ce regard de l’autre pour avancer,

Que le regard avec les yeux du cœur est celui qui te rapproche de qui tu es,
Et que peu importe, le regard d’autrui, c’est toi qui choisis de cultiver ton unicité,

Le regard de l’autre devient secondaire, si tu as envie de vivre ces expériences,
De jouir pleinement de ta propre nature, sans que quoi que ce soit ne t’influence,

Fais-toi confiance, l’autre n’est pas Toi, et que celui-ci n’entrave pas ta Liberté,
Toi seul sais ce qui est bon pour Toi, alors Regarde Toi avec ton Cœur
et tu verras comme cela va changer !

Océane Butterfly

« La liberté intérieure c’est quand le regard de l’autre ne nous détermine pas. »
Alexandre Jollien 

Poésitivement

« Printemps 2020, je me souviendrai ! »

« Comme un air de nostalgie….sur certains aspects…. »

Je me souviens d’un certain Printemps 2020,
La nature renaissait, le soleil brillait de ses plus beaux rayons,
Et rien ne serait plus comme avant, une « sorte de choc » pour l’être humain,
Comme un « réveil soudain », comme une nouvelle vision,

Déstabilisation, questionnements, impuissance, « nouveau venu » dans nos vies,
Une perte de liberté dans nos gestes au quotidien, dans nos « habitudes de consommation »,
Mais un « rapprochement » entre les êtres humains, fondé sur la bienveillance,
 j’en éprouve presque de la nostalgie,
Une nouvelle atmosphère de paix, de calme, de compassion,

La faune, la flore, semblaient aussi apprécier ces instants,
Reprenant leur liberté, retrouvant l’essentiel de leur environnement,
Cette « nouvelle ère », on s’en serait bien passé ,
Mais pendant ce temps, chacun, chacune, semblait avoir revu ses priorités,

Celles qui au final, sont par essence celles de l’humanité,
Presque 2 ans se sont écoulés, « le naturel est revenu au galop », à quelques exceptions près,
Il en faudra du temps et bien plus encore pour « changer les mentalités »,
Cela ne mérite-t-il pas de s’interroger sur « les fondements de notre existence »,
Printemps 2020, je me souviendrai